LM Natura psoriasis traitement naturel

L’huile de Carapa procera au coeur d’une ONG

récolte de Carapa procera

 

En Mai 2017, notre fondatrice, Sylvie Méliet est retournée en Guinée. C’est là où nous nous fournissons en huile de Carapa procera (1). Cette huile est l’ingrédient principal de nos soins naturels contre le psoriasis, l’acné et l’eczéma. Voyons ensemble le carnet de route de l’aventure.

 

L’objet de ce voyage en Guinée

Nous avons décidé de tout faire pour mettre en valeur le trésor que représente l’huile de Carapa procera. Pour ce faire, nous réactivons l’ONG Gnon Kany, qui était en sommeil. C’est qu’en effet, nous avons décidé, en partenariat avec l’Université de N’Zérékoré de réaliser la première plantation mondiale de Carapa procera. L’huile de Carapa procera sera l’huile d’Argan de demain. Du moins, c’est ce qu’affirme le spécialiste mondial du Carapa et professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle.

Jusqu’à présent, les arbres que nous exploitons sont des arbres sauvages se trouvant dans un milieu naturel rendant les conditions de travail pénibles et laborieuses. Avec une plantation à proximité du village, les femmes, traditionnellement en charge de la récolte et du pressage de l’huile, auront moins de distance à parcourir, elles pourront donc produire davantage en étant moins fatiguées.

C’est pourquoi il fallait que Sylvie se rende sur place afin de revoir les habitants du village. Ainsi que pour piloter la plantation avec l’aide des enseignants chercheurs de l’Université.

 

Plusieurs étapes à travers la Guinée à la rencontre de l’huile de Carapa procera

carte de la Guinée pays de la Carapa procera

 

– Conakry, la capitale, pour rencontrer les acteurs de la gestion de l’acheminement de l’huile vers les laboratoires LM Natura à Maurice.
– L’Université de N’Zérékoré pour rencontrer les enseignants chercheurs ainsi que le recteur, parties prenantes du projet de valorisation de l’huile de Carapa procera.
– Le village de Guinée forestière où nous nous approvisionnons en huile.

 

Jour 1 – Arrivée à Conakry, capitale de la Guinée

Sylvie a prévu une journée afin de rencontrer les acteurs de l’expédition de l’huile. Nous acheminons l’huile par camion du village à la capitale, puis par bateau de Conakry à Port Louis, la capitale de l’Ile Maurice. Nous la stockons ensuite dans notre laboratoire situé à Maurice pour ensuite pouvoir fabriquer le Complexe Régulateur Akno Natura et le Complexe Régénérateur Pso Natura sur place. Voir les témoignages de nos clients. Pour les autres soins LM Natura, nous expédions de l’huile vers notre laboratoire en France. En savoir plus les différentes manifestations de l’acné.

 

Jour 2 – En route pour la Guinée Forestière, pour planter la Carapa procera

Les routes sont parfois peu praticables en Guinée. Il s’agit là de traverser le pays, la région de la Guinée Forestière étant la plus au sud du pays. La route est longue de Conakry à N’Zérékoré, première étape en Guinée Forestière avant d’aller au village. C’est à bord d’un 4×4 que Sylvie embarque pour ce périple, accompagnée par un enseignant chercheur de N’Zérékoré qui est venu la chercher.

Ce sont d’ailleurs des retrouvailles entre les deux personnes. Effectivement, Sylvie avait rencontré Molière aux prémices des laboratoires. Ils avaient gardé de maigres contacts mais lorsque Sylvie a proposé le partenariat avec l’Université, il a tout de suite répondu présent. Cette fois-ci, grâce à des routes refaites, le trajet ne dura qu’un seul jour contre presque trois la dernière fois.

Jour 3 – La rencontre des partenaires du projet à l’Université de N’Zérékoré

 

les partenaires du projet de valorisation du Carapa proceraTout d’abord, lorsqu’elle avait présenté le projet de valorisation du Carapa procera, Sylvie avait eu un soutien immédiat et inconditionnel de la part de l’Université de N’Zérékoré. Rencontrer les enseignants chercheurs dorénavant impliqués à ses côtés était une étape importante.

Ainsi, cette rencontre s’effectua dans la joie et la bonne humeur. Les deux côtés étant persuadés de l’importance du projet et engagés pour le mener à bien. Sont impliqués : le recteur et cinq enseignants chercheurs des domaines de l’agroforesterie, botanique, de l’environnement et de la biodiversité.

 

 

Jour 4 – Retour au village où tout a commencé

C’est le moment d’aller au village et de revoir des visages que Sylvie craignait d’avoir oublié. Sylvie est accueillie par des villageoises qu’elle avait déjà eu l’occasion de rencontrer durant ses précédents voyages. Mais également par de nouvelles personnes soucieuses du bien-être de leur village et motivées pour faire partie de cette aventure.

La Guinée est un pays majoritairement musulman et la religion prend une place importante dans la vie de ses habitants et dans les institutions. Il est donc capital, lorsqu’on monte un projet dans ce pays d’avoir le consentement des autorités religieuses en place. La fondation de l’ONG Gnon Kany avait été encouragée par l’Imam en place à l’époque.

C’est même lui qui avait soufflé le nom de l’association à Sylvie, Gnon Kany signifiant « aimons-nous les uns les autres ».

Aujourd’hui, cet homme a malheureusement disparu, emporté par le virus Ebola qui a tant fait de ravages en Guinée et en particulier dans les provinces reculées du sud du pays. C’est son fils qui a pris le relai. Sylvie l’a rencontré et il donne lui aussi un soutien total au projet. C’est également le cas du Maire du village, il croit en ce projet commun et souhaite sa réussite.

 

Jour 5 – Identification des terres pour planter le Carapa procera

Noix de Carapa proceraA la dernière visite de Sylvie, l’Imam avait fait don de 2 hectares à l’ONG Gnon Kany avec le désir futur et encourageant de planter des arbres de Carapa procera. Depuis plus de 5 années, rien n’avait encore été engagé pour l’exploitation de ces terres. Faute à des moyens trop restreints, des contraintes de temps et d’éloignement géographique.

2017 marque un grand tournant pour les Laboratoires LM Natura et l’ONG Gnon Kany

Comme évoqué précédemment, le projet de Valorisation de l’arbre de Carapa procera relance l’activité de l’association.

Les 2 hectares offerts généreusement par l’Imam ont donc fait l’objet d’une reconnaissance. Puis d’un marquage GPS par les hommes du village et par un botaniste de l’Université. C’est sur cette parcelle qu’est lancée la plantation expérimentale. Effectivement, cette zone est parfaite puisqu’elle se trouve à l’embouchure de deux rivières, des conditions optimales pour la bonne croissance des plants.

Le fils du village, dans le même élan de générosité que son père, confie à l’ONG 5 à 6 hectares supplémentaires. Un repérage et un marquage GPS sont également effectués sur cette parcelle.

Dans un but de préservation de l’environnement et de listage des espèces endémiques, nous mettons en place une procédure. Les chercheurs de l’Université effectuent des identifications et des relevés des espèces végétales présentes. Un herbier est créé.

 

 

Jour 6 – Des plants et des sauvageons de Carapa procera

Plant de Carapa proceraPour réaliser une plantation, il faut créer une pépinière. Cela nécessite donc d’obtenir des plants à base des graines. Nous ne savions pas encore si cela était possible, si l’arbre de Carapa était ou non docile pour pousser planté par l’homme.

En partant voir la forêt qui abrite les arbres sauvages de Carapa procera, Sylvie et l’équipe de botanistes trouvent des jeunes plants de Carapa ainsi que des sauvageons (la graine à peine germée). Dans ces conditions, plutôt que d’attendre que les plants poussent en pépinière, ils ont déjà de quoi réaliser les débuts de la plantation !

Somme toute, 310 plants sont prélevés de la forêt pour ainsi être replantés sur le terrain expérimental. Celui-ci a été défriché au préalable.

 

Jour 7 – Une éco-forêt pour une huile biologique et respectueuse de l’environnement

Sur les bons conseils d’un chercheur et spécialiste français, l’équipe de l’Université de N’Zérékoré a mis en place un programme de plantation avec les techniques adaptées à la plante, au sol et à la localisation. En un seul jour, quelques 74 pieds de Carapa procera sont plantés, chacun guidé par des tuteurs.

Aucun engrais ou produit chimique n’est présent pour cette première plantation mondiale de Carapa procera. A cet égard, notre souhait commun est de réaliser une éco-forêt dans le but de produire une huile biologique. Pour qu’elle soit respectueuse de l’environnement et de la santé.

En parallèle, une équipe locale, achève la plantation des plants restants et réalise une pépinière pour de futurs pieds dans une zone ombragée. Le fils de l’Imam devient chef de l’équipe locale, en charge de finir la plantation, de veiller à l’arrosage et à la bonne pousse des plants.

A la fin de ce dernier jour dans le village, une réunion s’est tenue avec les responsables et les femmes de l’ONG Gnon Kany pour résumer le travail accompli et développer ce qui reste à faire. Les femmes veillent à ce que l’arrosage soit bien effectué par les équipes de l’Imam.

 

Sources :

(1) Carapa procera, www.carapaprocera.com

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